Des confirmations historiques, des aveux (de culpabilité et d'impuissance) des politiques et économistes... il suffit de lire la presse entre les lignes pour s'en rendre compte... 2012, c'est peut-être aussi (enfin !) la révélation d'un système qui a trop (mal) duré...
FED : Fraude Extrêmement Dangereuse... la BCE, c'est pire
Cette vidéo est à diffuser à vos contacts sceptiques sur la situation financière mondiale en mode "autodestruction".
Pour les nouveaux lecteurs de ce blog encore sceptiques sur l'effondrement inévitable de notre système économique. Cette vidéo pédagogique vous offre une base de connaissance sur la création monétaire.
Vous découvrirez le fonctionnement de la FED (machine à dette perpétuelle américaine).
Sachez que la BCE (Réserve Fédérale Européenne) utilise le même procédé, et plutôt que d'échanger son papier sans valeur réelle avec du papier d’État sans valeur réelle (bons du Trésor), elle le prête aux banques commerciales qui, elles-mêmes le prêtent aux États surendettés en achetant des bons du Trésor...
Ce mode opératoire de création monétaire est l’œuvre d'une entreprise criminelle hautement organisé qui a été dénoncé par les présidents Abraham Lincoln, John Fitzgerald Kennedy et aujourd'hui par le candidat, Ron Paul...
Pauvres européens, ce procédé est encore plus dangereux que la FED...
Bienvenue hors de la matrice et sur ce blog... J'espère pour vous que le réveil ne sera pas trop difficile...
Le troc ancien : un leurre créé par les économistes modernes ?
Adam Smith est un philosophe et économiste écossais des Lumières, ces derniers étant très affiliés à la franc-maçonnerie, apparue au même moment. Il reste dans l’histoire comme le père des sciences économiques modernes, dont l'œuvre principale, publiée en 1776, La Richesse des nations, est un des textes fondateurs du libéralisme économique.
Voici une interview parue début février 2020 de l'économiste Michel Ruimy, professeur à Escp-Europe et à Sciences Po. C'est bien sûr sujet à débats, en commençant par se poser des questions primaires, voir ingénues : les anciens peuples (des chasseurs-cueilleurs au néolithique, voir jusqu'à la création de la monnaie d'échange il y a presque 3000 ans) avaient-ils une idée consciente de la signification même d'une quelconque "économie" ? Ne voulons-nous pas absolument prêter à nos ancêtres notre propre modèle de pensée et d'organisation ? Notre propre individualisme, égo, violence, notions de nations-tribus et notions de familles et formatages organisés par l'éducation et société ?
Quel était l'intérêt pour l’économiste Adam Smith de placer historiquement le troc avant la monnaie ? Était-ce une erreur ?
Michel Ruimy : L’idée d’Adam Smith selon laquelle le troc a été le précurseur de la monnaie c’est-à-dire que la monnaie a été inventée pour surmonter les difficultés du troc, est tendancieuse. En effet, cette technique d’échange attribuée aux sociétés primitives est largement remise en cause par les anthropologues (Humphrey, Ingham, Mauss).
Nulle part dans le monde il n’a été possible de trouver une société qui fonctionnait strictement sur ces bases. Il a même été possible, à travers l’exemple des sociétés amérindiennes, de prouver que le troc et l’échange marchand n’y étaient pas présents avant l’arrivée des Européens. Plus encore, ces sociétés ont déployé diverses pratiques sociales et justifications symboliques afin de réduire l’incidence des rapports marchands dans leur organisation sociale et ce, avant, pendant et après la colonisation européenne.
Pourtant, la vision : « Avant la monnaie, il y avait le troc » fait autorité dans les sciences économiques et dans la conscience collective. Si cette phrase, maintes fois entendues, se révèle un mythe, elle est loin d’être anodine. Cette allégorie est l’élément-clef des économistes classiques pour fonder leur théorie de la valeur. Notre conception moderne de valeur de la monnaie en découle directement.
L’entreprise de Smith se révèle donc être un projet normatif issu de la société marchande libérale. Au vu de certains dysfonctionnements, un renversement de cette position serait souhaitable et permettrait d’élargir l’univers des possibles pour nos sociétés marchandes occidentales.
Était-il conscient de porter le contre mythe du communisme primitif et matriarcat primitif ?
Crises en séries : retour sur 2009 - UP 2012 - pour ne pas oublier... toujours en cours...
Début 2012 : Toutes les prévisions et avertissements émis depuis le début des années 2000 se concrétisent effectivement... Si vous avez le courage (mais aussi si vous voulez vérifier par vous-mêmes la complicité évidente de TOUTE la classe politique et même les raisons de ces crises fabriquées de toutes pièces historiquement...), ce film de plus de deux heures (qui regroupe toute une série) de 2009 commentant et expliquant les tenants et aboutissements des données des années précédentes nous mène assez facilement à notre actualité d'aujourd'hui et celle à venir : car contrairement à ce que l'on veut vous faire croire, tout est bien prévu depuis longtemps, et ce ne sont pas les Gouvernements qui décident, aussi bien dans leurs pays respectifs que mondialement...
La reprise actuelle est un leurre : que les marchés décident de rebondir une dernière fois jusqu’en début 2010 ou de s’effondrer maintenant ne dépendra en rien de la pseudo reprise que vendent les ânes a listes et experts de tout poil... les banquiers cosmopolites préparent une magnifique crise en 2010 pour ruiner les classes moyennes de tout l’occident, et imposer leur "nouvel ordre mondial". Les ingrédients sont mis en place et la trappe s’ouvrira quand ils décideront. c’est a la face du monde et publiquement qu’ils envoient paître les élus ! les républiques, les démocraties ne sont plus que des ploutocraties........le peuple n’en a cure , il ne réclame que des jeux et du pain... Denissto
Un ancien de Lehman Brothers aux commandes de l'économie espagnole
LEMONDE.FR avec AFP | 21.12.11 | 20h43 • Mis à jour le 22.12.11 | 14h19
"Le conservateur Mariano Rajoy, nouveau chef du gouvernement espagnol, a nommé mercredi 21 décembre Luis de Guindos, ancien président de la banque Lehman Brothers pour l'Espagne et le Portugal, au poste de ministre de l'économie.
Agé de 51 ans, l'ancien secrétaire d'Etat à l'économie (2002-2004) occupera, au sein du nouveau gouvernement de droite, un poste-clé, chargé de mener un programme économique exigeant, mêlant austérité et réformes, afin de redresser un pays menacé de récession et frappé par un chômage record. Principal objectif : rassurer les marchés financiers, toujours sceptiques face à la santé financière de l'Espagne qui ne parvient pas à s'extirper de la crise de la dette.
Le nouveau ministre de l'économie a déjà fait part de son point de vue sur la future réforme du secteur bancaire espagnol : "La moitié du système financier a besoin d'une deuxième vague de restructuration", a-t-il dit, plaidant aussi pour la création d'une "bad bank", qui regrouperait les mauvais actifs immobiliers des banques dans une structure gérée par l'Etat."
Autrement dit : des banquiers américains (dont Lehman Brothers) ont volontairement déplacé leurs problèmes financiers sur d'autres banques et Etats, provoquant volontairement une crise majeure, et ceux qui en sont les victimes donnent des postes clés aux mêmes banquiers pour les aider à enfoncer encore plus le clou sur le dos de la majorité et continuer... mais bien sûr c'est normal et personne ne dit rien... de plus, vous remarquerez que c'est exactement ce qui est prévu et dit en 2009 qui est appliqué en 2011/2012 : les Etats (la France va faire de même avec Dexia) va utiliser l'argent de ses concitoyens, arraché à coups de taxes "sociales" et autres, pour transférer la totalité des "problèmes" des banquiers privés dans des banques gérées par le "public" et nationalisées...
Les banques et les agences de notation sont les dictateurs de l'Occident
Spécialiste du Moyen-Orient, Robert Fisk file la comparaison entre le "printemps arabe" et le mouvement des "indignés". Il s'en prend violemment aux banquiers et aux agences de notation qui agissent en propriétaires des pays et des peuples, aidés par des gouvernements veules et des journalistes soumis. Un point de vue roboratif.
(Extraits) :
"Ecrivant depuis cette région [le Moyen-Orient] qui produit plus de clichés au centimètre carré que n'importe quelle autre, je devrais peut-être y réfléchir à deux fois avant de déclarer que je n'ai jamais lu autant de foutaises, autant de débilités absolues que ce que j'ai pu voir au sujet de la crise financière mondiale.
Et puis non, je ne m'abstiendrai pas. J'ai le sentiment que le journalisme censé traiter de l'effondrement du capitalisme a atteint de nouveaux tréfonds que même le Moyen-Orient ne peut surpasser en termes de soumission sans frein à ces institutions et à ces "spécialistes" de Harvard qui ont justement contribué à déclencher tout ce désastre criminel."
(...) "Ce qui a poussé les Arabes à descendre par dizaines de milliers, puis par millions dans les rues des capitales du Moyen-Orient, c'est une dignité revendiquée, ainsi que le refus d'admettre que les dictateurs locaux et leurs familles étaient de fait les propriétaires de leurs pays. Les Moubarak, Ben Ali et autres Kadhafi, les rois et émirs du Golfe (et de Jordanie) et les Assad s'imaginaient tous qu'ils jouissaient de l'usufruit de l'ensemble de leurs nations. L'Egypte appartenait à Moubarak Inc., la Tunisie à Ben Ali & Cie (et à la famille Traboulsi), la Libye à Kadhafi & Fils, et ainsi de suite. Les martyrs arabes contre la dictature sont morts pour prouver que ces pays appartenaient à leurs peuples.
Et c'est là que réside le vrai parallèle avec l'Occident. Les mouvements de protestation visent effectivement le monde des affaires – une cause tout à fait juste – et les "gouvernements". En revanche, ce qu'ils ont découvert, un peu tard, certes, c'est que depuis des décennies, ils ont foi dans une démocratie frauduleuse : ils votent sagement pour des partis politiques, qui confient ensuite leur mandat démocratique et le pouvoir du peuple aux banques, aux cambistes en produits dérivés et aux agences de notation, qui peuvent tous compter sur une coterie répugnante et malhonnête de "spécialistes" venus des meilleures universités et des "cabinets de consultants" des Etats-Unis, lesquels entretiennent la fiction qui veut que l'on soit confronté à une crise de la mondialisation plutôt qu'à une énorme arnaque pour flouer les électeurs.
Les banques et les agences de notation sont devenues les dictateurs de l'Ouest. Comme les Moubarak et les Ben Ali, elles croyaient – et continuent de croire – qu'elles étaient les propriétaires de leurs pays. Les élections qui leur donnent le pouvoir sont aujourd'hui aussi factices – à cause de la couardise et de la collusion des gouvernements – que celles auxquelles les Arabes ont été obligés de participer décennie après décennie afin de sacrer leurs propres propriétaires nationaux. Goldman Sachs et la Royal Bank of Scotland sont désormais les Moubarak et les Ben Ali des Etats-Unis et du Royaume-Uni, chacun engloutissant la richesse du peuple sous forme de primes et de bonus bidons offerts à leurs patrons sans pitié, animés d'une cupidité infiniment supérieure à ce que pouvaient imaginer leurs frères en dictature arabes, pourtant rapaces."
(...) " Je n'ai pas attendu Inside Job, de Charles Ferguson [ce documentaire sorti en 2010 revient sur les origines et les responsabilités de la crise financière de 2008], diffusé au début du mois sur BBC2 – même si ça m'a aidé – pour savoir que les agences de notation et les banques américaines sont interchangeables, que leur personnel passe sans heurt des agences aux banques et au gouvernement des Etats-Unis. Les gars des agences (presque toujours des gars, d'ailleurs) qui ont attribué un triple A aux prêts hypothécaires à risque et aux produits dérivés aux Etats-Unis ont désormais entrepris de dépecer – par le biais de leur influence délétère sur les marchés – les nations d'Europe en menaçant de dégrader, voire de supprimer, ces mêmes notes qu'ils avaient attribuées si généreusement à des délinquants avant le krach aux Etats-Unis. D'ordinaire, je considère que la retenue suffit généralement à l'emporter dans une discussion. Mais là, foin de sous-entendus, qui sont ces créatures dont les agences de notation font aujourd'hui plus peur aux Français que Rommel en 1940 ?
Pourquoi mes camarades journalistes ne me le disent-ils pas ? Comment se fait-il que la BBC et CNN – oh mon Dieu, et même Al-Jazira – traitent ces bandes de criminels comme d'inébranlables institutions du pouvoir ? Pourquoi n'y a-t-il aucune enquête – Inside Job a ouvert la voie – sur ces magouilleurs scandaleux ?"
Les Arabes, au moins, ont commencé à se débarrasser de ces absurdités. Mais que les manifestants de Wall Street fassent de même, et ils se transforment en "anarchistes", en "terroristes" sociaux des rues des Etats-Unis qui osent exiger que les Bernanke [président de la Fed] et les Geithner [ministre des Finances américain] passent devant les tribunaux comme Hosni Moubarak. Nous, en Occident – nos gouvernements –, avons créé nos dictateurs. Mais contrairement aux Arabes, nous ne pouvons pas y toucher...
Début décembre, Enda Kenny, le taoiseach [Premier ministre] irlandais, a solennellement déclaré à ses concitoyens qu'ils n'étaient pas responsables de la crise dans laquelle ils se retrouvaient. Ce qu'ils savaient déjà, bien sûr. Ce qu'il ne leur a pas dit, c'est qui en était à l'origine. Ne serait-il pas temps que lui et ses collègues Premiers ministres de l'Union européenne nous le disent ? Et nos journalistes aussi ? "
Il est évident que cette année 2012 est une année-charnière dans ce plan orchestré depuis longtemps. Comme les banquiers comptent évidemment sur une augmentation des taxes et prix pour que les Etats et public puissent rembourser les dettes créées par les manipulations des mêmes banquiers, tous les gouvernements (et partis politiques "traditionnels") sont au garde-à-vous pour aider cette mafia financière grâce aux plans de rigueurs... mieux : ces mêmes-banquiers sont nommés ou se retrouvent sur des listes électorales pour participer activement à cette escroquerie évidente... et dans tous les pays...
YH : 2015 : Regardez ce qu'il se passe avec la Grèce et les plans d'austérités, les ponctions faites sur le dos des gens sans arrêt par les différents partis politiques (quels qu'ils soient) au pouvoir à tour de rôle depuis cette escroquerie mondiale qui consiste à enlever aux peuples leur souveraineté financière pour la remettre entre les mains de la mafia bancaire mondialiste privée... les années se suivent et se ressemblent, avec des "crises" artificielles et régulières depuis les années 80... et ce n'est pas fini, loin de là, car les peuples aveugles ne voient rien et sont coincés avec de fausses différences entre des partis politiques semblables qui ne remettent tout simplement pas du tout le système en cause, mais l'accompagnent à tour de rôle... pourquoi changer une escroquerie qui fonctionne si bien, n'est-ce pas ?...
Et il y a aussi toujours des naïfs qui croient les hommes politiques (et les médias vendus) quand ils leur affirment que les Grecs (par exemple) sont entièrement responsables de leurs dettes et de crééer des difficultés à l'Europe et aux autres pays : ce sont les lois et accords passés en faveur des pouvoirs financiers privés par TOUS les gouvernements traitres successifs des pays européens et américains qui sont seuls responsables...
Par la loi Pompidou-Giscard d'Estaing du 3 janvier 1973, la Banque de France a abandonné son rôle de service public.
Toutes les études sérieuses historiques le confirment : la plupart des Etats du monde, qu'ils soient démocraties ou non, ont cédé aux chimères d'un système économique "libéral" (juste une étiquette) qui permettait un accroissement de richesses énormes pour quelques nantis et familles déjà riches, au détriment de la majorité, et tout en maintenant l'illusion d'un système démocratique où le peuple décidait du pouvoir donné... La réalité est de plus en plus difficile à dissimuler étant donné que tous les événements de ces 40 dernières années correspondent bel et bien aux plans définis (et connus!) depuis la fin des années 60. Y compris les "crises" économiques multiples (combien depuis les années 70 ?) de ce système instable (mais arrangeant pour les besoins de ces familles) depuis des décennies... Aujourd'hui, la Chine a plus ou moins réussit à battre la 1ère puissance économique au monde (les USA) grâce à ses propres armes : le capitalisme (système stupide, dictatorial et contradictoire pour des Etats basés historiquement sur l'Egalité !) et la possession de biens partout dans le monde... La Grèce voit tous ses pans économiques et stratégiques (chemins de fer, ports, etc...) être rachetés à bas prix par la Chine et ses moyens énormes, et ce n'est que le début... Il serait temps que les citoyens du monde "libre" (mais ce n'est qu'une illusion : tout le monde travaille en fait pour les Banksters ! - ceux qui détiennent réellement les banques assistés des mêmes pour lesquels vous votez sans arrêt, qui sont corrompus dès que l'engagement politique mène à une profession, qui sont sans arrêt mêlés à des affaires de détournements de fonds ou de pouvoirs, et qui sont tous d'accord (quel que soit le Parti !) pour maintenir les choses et le système tel qu'il est) ouvrent les yeux et réalisent qu'ils oeuvrent, travaillent et cotisent eux-mêmes pour un monde pervers et corrompu.
George Pompidou, ancien Directeur Général de la Banque Rotschild, a retiré à la France son pouvoir régalien de battre monnaie.
Article 25 : « Le Trésor public ne peut plus présenter de ses propres effets à l'escompte de la Banque de France. ».
Désormais, le Trésor Public ne peut plus emprunter directement à la Banque de France à un taux d’intérêt faible ou nul.
Résultat: La mainmise des banques privées dans le financement des états.
NB: Le Federal Reserve Act voté aux Etats-Unis le 23 décembre 1913 est l’équivalent de la loi de 1973.
Explications de V. Giscard d’Estaing (qui a fait signer le président Pompidou, déjà malade et qui décédera d'ailleurs peu de temps après, en 1974... ce qui a arrangé tout le monde politique en fait...). Mais il ne faut pas oublier que Mr Pompidou était... un banquier ^^...
VGE justifie l'adoption de cette loi en remarquant que cette démarche s'était imposée dans tous les grands pays au moment de sa promulgation ; est-ce pour autant que la mesure est judicieuse ?Les faits nous démontrent aujourd’hui que ce n'était pas le cas !!!
Il rappelle par ailleurs que le système de prêt d'une banque centrale à l'Etat est générateur d'inflation : ceci est vrai mais soulignons que l'inflation est un mécanisme qui, s'il pénalise les placements financiers, avantage néanmoins les emprunteurs... ainsi, l'augmentation des prix est compensée par une augmentation des salaires (mais pas pour tous, puisque les mêmes élites ont fait en sorte que les masses soient divisées : Branches par métiers, négociations par entreprises, syndicats souvent complices, etc...) ; la part d'un emprunt à taux fixe pèse donc de moins en moins sur le budget du ménage à mesure que l'on approche du terme du remboursement.
Notons que le poids de la dette publique consécutive à cette loi oblige à une politique d'austérité (depuis 1973 ! : vous avez compris pourquoi, dès les "Socialistes", vous avez eu droit a des prélèvements "sociaux" - CSG-CRDS, forfait hospitalier, etc..., qui ont continué avec le retour des "Gaullistes" qui en ont inventé d'autres (et c'est pas fini si vous écoutez les "responsables" au pouvoir ...)) avec toutes les conséquences qui en découlent (chômage, précarité, dégradation de la qualité des services publics, vente du patrimoine national et des mêmes services publics au privé, etc...). Si inflation il y a, elle n'est, aujourd'hui, plus compensée par l'augmentation des salaires ; ceux-ci tendent à stagner, voire, dans certains cas, à régresser ! L'inflation, soi-disant combattue par cette loi, était un moindre mal, comparée aux ravages qu'elle a, depuis, engendrés !
Enfin, la dernière partie de sa réponse consiste à soigneusementéviter la question cruciale des intérêts versés aux organismes financiers privés et de se borner à rappeler que le capital emprunté, qu'il soit celui de la Banque de France ou bien des banques privées se doit d'être remboursé. Evidemment emprunter aux banques privées a des taux supérieurs a la Banque de France ce n'est pas une volonté d'endetter un pays , le "père" de l'Europe a bien travaillé a la chute de la France (et de la même Europe) dans le piège mondialiste et libéral des initiés.....milliardaires...
Une démocratie n'en est plus une quand la corruption est telle qu'on ne peut plus faire confiance à aucun responsable de l'Etat ou même à des prétendants aux titres via des élections... quand certains font voter les morts (voir les rapports officiels sur certaines élections françaises et certains jugements), bafouant toute démocratie ou encore quand on ne tient pas compte de référendums ou de l'avis de ceux qu'on est censé représenter (voir la constitution européenne manipulée) par exemple. Impossible de faire également respecter une réelle démocratie quand les citoyens "volontaires" pour s'impliquer dans la vie politique d'un pays se voient octroyer des avantages illégitimes et même une profession en final très rémunératrice et bien au-delà de ce qui devrait être donné (et qui ne l'est pas pour les associations par exemple, qui sont autant (sinon plus car souvent à buts non lucratifs, elles) volontaires pour apporter leur contribution à la société qu'un homme politique actuel (et passé)... Sans oublier que ce sont bel et bien les médias (détenus par les mêmes !) qui font bel et bien élire l'un des 3-4 prétendants principaux (qui protègent tous dans les faits le système actuel !) aux élections, car les gens ne voient et n'entendent pratiquement qu'eux ^^...
L'une des premières choses à faire donc serait de considérer les charges liées à l'Etat ou au pouvoir politique comme du volontariat, comme les associations, et donc de n'assurer à tous ces élus que le logement et un train de vie normal suivant des indices de coûts de vie connus et sans avoir le droit d'avoir un enrichissement personnel ou familial pendant la durée du mandat : tous ces salaires, du maire au Présidentne devraient donc pas être très loin du SMICdans la mesure ou les logements et toutes charges et nourritures sont inclus dans la rémunération et qu'ils n'ont pas à dépenser plus que la moyenne du peuple, alors qu'ils sont volontaires...
Je signale aussi au passage qu'un pays comme la Belgique a pu se passer de "gouvernement" et de ces hommes politiques (qui ne connaissent d'ailleurs souvent pas le rôle du ministère ou du poste gagné !) pendant un an et demi déjà... C'est dire si les millions d'euros donnés à ces gens chaque mois partout dans le monde pour le même type de "professionnels" pourraient déjà être économisés pour les "dettes" publiques (qu'ils ont eux-mêmes créé !)...
S'ils étaient un peuple libre, les français demanderaient et obtiendraient le jugement et condamnation de Mr Giscard d'Estaing et de ses complices politiques (qui continuent la même politique, quel que soit le "parti" (juste des étiquettes !) pour haute trahison. Et exigerait une annulation complète de cette loi de 1973 au profit des banques privées et redonner au Trésor Public la possibilité d'emprunter à taux minimal ou zéro à la Banque de France... pour commencer... ils devraient également exiger la nationalisation de tout le système financier : ce pouvoir est trop important pour le laisser aux mains d'individus (mafieux) et du privé... il doit être redonné au peuple dans son ensemble, donc à l'état.